Un travail méticuleux : Martin Dürnberger est aux petits soins pour son Actros 1851 qu’il adore
Panorama
Martin Dürnberger transporte du gravier, des gravillons, de la chaux et du sable. Son Actros équipé d’une remorque de benne basculante semble toujours comme neuf malgré le terrain difficile sur lequel il évolue.
Martin Dürnberger avait pourtant eu quelques doutes. Il faut dire que la liste des équipements pour son Actros était vraiment longue. Qu’allait dire son chef Simon Herzog ? « Je n’étais pas sûr d’obtenir la motorisation que je voulais, la version à 350 kW. » Il avait eu tort de s’inquiéter : assistant de changement de direction et assistant de franchissement de ligne pour la sécurité, coques de rétroviseurs chromées et lampes de toit pour l’esthétique – aucun de ses souhaits n’avait été retoqué. De plus, au plus grand étonnement de Martin, son chef avait généreusement accepté la version à 375 kW.
L’Actros de Martin, toujours étincelant.
Comme si c’était le sien, Martin avait déjà entretenu avec le plus grand soin le camion précédent – un Actros 1846. « Je ne suis pas du genre à rester vissé toute la journée sur mon siège jusqu’à l’heure de la débauche. Mon camion, je m’en occupe », déclare celui qui a étudié la mécanique poids lourd.
Martin qui vient de Hipoltstein en Franconie roule environ 2.800 kilomètres par semaine, chargé de toutes sortes de marchandises en vrac. Ses tournées le mènent jusqu’au lac Chiemsee et en Thuringe, chargé de verre concassé pour la production de verre, de chaux et d’engrais pour l’agriculture ou de sable pour les parcours de golf et les terrains de beach-volley. « Sur les parcours de golf, les gens se retournent au passage de l’Actros. Avec ses chromes et son éclairage, il fait de l’effet. »
Opérations d’entretien durant les pauses.
Dès qu’il a quelques minutes pendant sa journée de travail, il souffle les traces de poussière à l’air comprimé et nettoie les éclaboussures de boue. « J’évite de rouler vite sur les pistes poussiéreuses. Sinon, j’aurais pas fini. » Le grand nettoyage, c’est en fin de la journée et le week-end. Jet haute pression, à froid. Puis un passage à la brosse. Martin consacre deux heures et demie par semaine à l’entretien. Pour sa peine, son chef lui offre un repas le samedi ou le dimanche. Ainsi, certainement que lors du prochain achat, il ne sera toujours pas question de rogner sur l’esthétique ou l’équipement.
Photos: Alex Kraus
Commentaire
Connecte-toi pour ajouter un commentaire.
17 commentaires
Gruß Joachim
Gruß Joachim
Kurz gesagt. Geben und Nehmen. 👍👍
Kurz gesagt. Geben und Nehmen. 👍👍
BRAVO et FELICITATIONS à MARTIN👍👍👍👍
BRAVO et FELICITATIONS à MARTIN👍👍👍👍
Da wird bestimmt so mancher Fahrer neidisch werden. Der Zug als Modell wäre toll.
Da wird bestimmt so mancher Fahrer neidisch werden. Der Zug als Modell wäre toll.
So muss das sein auch die Pflege natürlich 👏👏
Gruss Andreas
So muss das sein auch die Pflege natürlich 👏👏
Gruss Andreas
Meiner war etwas dürftiger ausgefallen aber ich hoffe beim nächsten wird das anders , kannst dir ja mal die Bilder von mir ansehen 😊
Meiner war etwas dürftiger ausgefallen aber ich hoffe beim nächsten wird das anders , kannst dir ja mal die Bilder von mir ansehen 😊
………..und perfekte Pflege😃
Allzeit gute und unfallfreie Fahrt!!!
………..und perfekte Pflege😃
Allzeit gute und unfallfreie Fahrt!!!
Toller Artikel und tolle Fotos.
👍👍👍👍👍👍😎⛟
Toller Artikel und tolle Fotos.
👍👍👍👍👍👍😎⛟